- Il était pas facile à porter de brancard pour lui mettre nous le faisons asseoir sur un de nos fusils et nous le tenions en arrière il ne pouvait tenir debout il se laissait tomber il avait une balle entre la cheville et le genou et l’autre dans l’épaule. Et nous partons, il restait le lieutenant de la section qui était mort couché sur le ventre, les bras croisées, et le menton dessus on aurait pas dit qu’il était mort. La jambe du cycliste qui avait été coupé resta la bicyclette et plusieurs pelles que j’ai pas pu apporter il fallait que j’aide a emporter le blessé. Arrivé à nos tranchées je change d’homme car ceux ci étaient très fatigués et il fait très chaud. Et nous transportons en arrière peut être un kilomètre. Nous étions très fatigués, nous demandons à d’autre qui étaient là s’il voulais continuer. Il nous répondit qu’il voulaient s’en occuper. je vais peut être sur un kilomètre en arrière pour voir si je voyais les brancardiers
- mais je ne vois rien et je revient aux blessés. Je ne puis trouver personne. Il me dit : « vous aller me laisser la ». Je lui répond que je ne pouvais faire mieux. Mes hommes de corvées étaient partis à leurs sections car il croyaient que j’allais trouver les Brancardiers mais point du tout. Je le redit aux autres régiments qui étaient la encore une fois. Il me répondent : « ce n’ai pas notre travaille » et d’un air un peu ingrat. Ca me faisait de la peine de laisser ce malheureux car demain je puis me trouver dans sa position. Je regagne ma section pour aller chercher d’autres hommes pour le remporter plus loin. Mais voila que je rencontre de nouveau le lieutenant qui nous avait commandé et je lui raconte mon histoire. Il me dit « je vais m’en occuper » et je lui fit voir ou je l’avais laisser. Je regagne ma tranchée.