- découvert et signalés. Nous marchons pendant plusieurs heures dans des bois Puis nous nous rassemblons dans un village car nous étions un peu a la débandade Et la on se rassemble mais il y avait beaucoup moins qui nous rejoint que le lendemain et blessé arrivaient apportés par leurs camarades puis nous allons un peu plus loin dans un autre village Le maire du village nous vendit car il avait peur que les allemands en profite nous allons de nouveaux vers un autre village en arrière encore à sept ou huit kilomètres de là. Puis nous nous reposons quelques heures. Puis nous repartons dans la direction de Boulaye (Boulage) ou se trouve la cartier général. Nous arrivons sur les dix heures du soir et la nous nous couchons. Ce que nous avions le peu de vivre de réserve qui commence à être épuisé. Voila deux jours que nous n’avions rien touché et nous marchions toujours quand même.
- Ceux qui n’avaient rien mangeaient des navets, des pommes quand on se trouvait à la rencontre.
- 10 Septembre 1914 Dès le matin nous sommes réveillé par un pluie fine qui nous tombait sur le visage vers quatre heures du matin et nous cachions avec la paille que nous cachions et très désespérés personne ne disait rien sur la journée de la veille. Vers six heures nous rentrons dans le petit village chez des gens qui faisait triste mine mais bien accueillis par eux Il y avait plusieurs émigrés chez eux. Il nous vendent des lapins et des poulets et on les fait cuire chez eux à la maison ont fit une bonne cuisine et on toucha du pain et nous mangeons avec bon appétit et nous buvons un quart de bon vin que l’habitant nous trouva dans le village. A dix heure du matin nous mettons sac au dos pour repartir de nouveau dans la